Les circonstances nous ont privés de sorties ces deux dernières années.
Nous avons tout de même effectué divers travaux, notamment la pose de codes QR sur tous les panneaux.
Le plus grand renvoie directement à l’ensemble du panneau sur votre smartphone.
Le plus petit vous fait entendre le résumé en patois, raconté par Denis Frund.
Nous espérons que les dispositions sanitaires actuelles nous permettront de vous emmener en course le 3 octobre.
Elle partira de Pleigne et nous conduira à la cabane des Geais. Nous pourrons y déguster jambon et gratin, dans une ambiance des plus conviviale !
Nous vous proposons trois possibilités :
1. la course longue
2. la course courte
3. participer simplement au repas à la cabane des Geais.
course longue
Alice Nyffenegger et Daniel Luzieux
course courte
Jean-Pierre Siegenthaler et Ernest Nyffenegger
course longue et course courte :
9h terrain de football de Pleigne
Jambon et gratin à la cabane, inscription indispensable voir plus bas.
Boissons sur place.
Merci de vous munir d’assiette et services.
course longue
course courte
Indispensables, pour la préparation du repas. Cela nous permet aussi de vous avertir si la météo est trop mauvaise
merci de le faire jusqu’ au mardi soir, 28 septembre 2021
par téléphone : Cécile et René Vuillemin,
+41 79 537 33 91
par courriel (mail) :
directement sur le site, voir ci-après
Au printemps, au sortir des rigueurs de l’hiver, la prêtresse des Druides envoyait depuis les hauteurs du Jura un jeune homme parcourir la région. Vêtu d’habits verts, il portait un rameau d’aubépine en fleurs à la main. Il se rendait dans les villages de l’Ajoie, juché sur un destrier blanc richement harnaché, et annonçait à voix haute le retour du mois de mai. La plus belle jeune fille de la région prenait place sur la croupe du cheval et chantait l’arrivée prochaine de l’été… Une atmosphère étrange règne dans certains lieux de notre pays, sans que l’on ne sache pourquoi. C’est le cas du site de la « Fille de mai », ce monolithe en calcaire proche de la frontière avec l’Alsace. Cette roche dont la forme rappelle celle d’une femme s’élève sur 33 mètres au-dessus de la cime des hêtres. Pour l’ancienne civilisation celte, elle représentait la déesse-mère Maïa.
Un article du Pays, dimanche, 10 juin 1906
2005-2025 © Pro Val Terbi - Tous droits réservés
Ce site est géré sous SPIP 3.0.17 [21515] et utilise le squelette EVA-Web 4.2
Dernière mise à jour : vendredi 25 octobre 2024